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 petite histoire du maroc 2008

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MessageSujet: petite histoire du maroc 2008   petite histoire du maroc 2008 EmptyVen 11 Juil - 22:36

voyage au Maroc sfcd mai 2008
Voilà, les valises sont faites, le répondeur pour les patients du cabinet est programmé, l’appareil photo est chargé. Nous sommes prêts. Un peu fébriles comme à chaque fois que nous partons. Jean cherche a faire une étiquette pour sa valise dans son bureau, j’espère qu’il ne va pas ouvrir son ordinateur pour cela….
Train, métro et avion nous voilà à Casablanca où avec Béatrice nous rencontrons des amis, expatriés pour Air Liquide. Ils nous expliquent leur vision du Maroc, les problèmes d’eau, d’éducation, et aussi l’essor incroyable de ce pays. Les 7 millions de touristes. Un salaire nourrit 10 personnes. Promesse du roi qu’en 2006 il n’y aurait plus de village sans eau courante ni électricité.
La difficulté pour nos amis de passer de Shanghai à Casablanca le rythme de vie est diffèrent …
Nous arrivons de nuit à Ouarzazate et rejoignons Catherine, Marie B et Evelyne une amie de Marie. Il est tard et nos valises n’arrivent pas à descendre de l’avion ! Une heure après, enfin, nous partons.
Ouarzazate est rouge (pas en brique cependant) et chaque maison a les murs d’enceinte crénelés. C’est très beau, cette unité de construction que nous retrouverons dans tout le sud Marocain, les kasbah. Sur la route du retour nous visiterons AIT BEN HADDOU kasbah fortifiée enregistré au patrimoine de l’Unesco on pense en la visitant aux baux de Provence.
Pour accéder à l’hôtel de la vallée nous traversons l’extrémité d’un lac qui est à sec. Seul un filet d’eau laisse espérer qu’à la saison des pluies la vie reviendra. En 24 heures, nous explique Catherine, une bonne pluie fait reverdir le lac ; mais durant la sècheresse on peu rouler en voiture sans problème.
La nuit est courte, un petit déjeuner avec tous les participants du voyage nous met de bonne humeur. Le pain consiste en de petites crêpes carrés délicieusement grasses !!Du miel du thé.
Il est temps d’aller louer la voiture. Que de palabres, c’est en Laguna que nous partons vers Zagora. Saïd, le loueur de voiture, est très content de nous donner une voiture de classe supérieure. Mais les 21mille dirhams de franchise nous obligent à prendre une meilleure assurance !

L’Anti-Atlas que nous traversons sur une route sinueuse est désertique. De temps a autre nous passons devant une Kasbah. Leur architecture est magnifique !

C’est un patrimoine en danger car ces demeures hiératiques s’effritent sous les vents et le soleil, abandonnées par des propriétaires qui n’ont pas les moyens de les entretenir. Le terme kasabah signifie « roseau » ! Ce matériau était utilisé jadis pour ses propriétés ergonomiques et économiques, dans la construction des toitures en tant qu’isolant thermique.
Nous faisons une pause en la ville de Agdz ou se tient le marché tous les jeudis.
Un enclos de bovins, un autre d’ovins, beaucoup de palabres autour des étals de légumes : pommes de terre, oignons, poivrons, fruits, épices et vêtements. Nous achèterons chacune un chèche pour pouvoir supporter le désert.
Aziz rêve d’acheter Catherine, il fait une belle proposition à Alex ; en vain !…
Après un tajine nous longerons une palmeraie.
Nous sommes dans la vallée d’Adès, une immense palmeraie.
Les palmiers ont été introduits au XIIème siècle par le souverain Yacoub el Mansour, leurs fruits et leur bois sont sources de richesse pour les habitants.
La terre et l’eau rythment ici l’existence.
Nous longeons des murets de terre délimitant jardins et plantations. L’orge est cultivée en abondance, la luzerne pour les animaux, les plantes aromatiques. Abricotiers, pommiers, agrumes et figuiers se mêlent aux acacias, tamaris et oliviers, quelques plus rares amandiers.
La menthe pour le thé est au Maroc depuis trois siècles seulement.
La traversée de cette palmeraie et un délice pour nos yeux entre le vert de la végétation, le bleu du ciel et l’ocre de la terre sur fond montagneux…
Zagora ville rose nous marchons un peu a la recherche de pain pour calmer la faim d’Olivier ! Un enfant nous guide à travers les dédales de la ville. Il semble que nous partons bien loin avec lui. Se perdre à Zagora voilà ce qui va nous arriver nous rebroussons chemin et enfin nous trouvons une boutique avec du pain. Nous reprenons la route dans un paysage minéral parfois lunaire c’est déjà le désert de pierres.
Cent kilomètres plus loin, nous sommes sur une route qui devient plus étroite avec des nuages de poussière lorsque l’on croise un camion. Nous voilà aux portes du désert de sable : Mahmid ! Un français philosophe nous accueille et oh surprise ! La voisine de Fréjus de Béatrice, toute bronzée. Le monde est petit…
Une tempête de sable nous attend, le sable pénètre partout, les dents crissent, cela ne nous empêche pas de nous baigner dans la piscine de l’hôtel. Même que l’on se demande ou l’on trouve l’eau pour la remplir ? Nous avons des chambres dans des sortes de huttes en pisé avec un toit en toile. Elles ont des salles de bains avec l’eau courante. Connaissant les problèmes d’eau nous serons économes.
Si le temps le permet, demain nous partirons en méharée pour 24 heures dans le désert. C’est quelque chose de nouveau pour nous et nous sommes un peu dubitatifs !
Allons nous y arriver ? Un apéro dans la chambre de Catherine nous donnera du cœur à l’ouvrage pour le lendemain. En 2007, la grappa ! En 2008, le pastaga !!
La nuit est belle, le ciel est clair, Béa manque une marche ! Mais tout va bien pour elle.
Les plafonds des chambres sont bas. Cela remet plusieurs fois nos idées en place !
Marie et Olivier ne sont pas bien ! Nous devrons hélas les laisser à l’hôtel bien pris en charge par l’hôtelier qui les « bourre » de riz et d’eau et le médecin de Mahmid les piquera au primpéran.
Le soleil se léve nous ajustons les chèches avec les quatre bédouins et leurs 9 dromadaires qui vont nous accompagner. Nous marchons à côté des dromadaires car ils faut nous apprivoiser ! Ils sont grands et hauts ! Nous marchons dans une palmeraie qui manque visiblement d’eau il existe un système d’irrigation en béton. Il a été envahi par le sable, j’ai l’impression que l’eau n’y passe plus depuis longtemps. Il existe plusieurs sortes de désert : un ancien lac ou l’on trouve des restes de coquillages, des dunes de sable ocre. Après une soirée au clair de lune en écoutant chanter les bédouins et en dégustant le pain cuit dans le sable nous passerons la nuit à la belle étoile. C’est vraiment magnifique car il n’y a pas de pollution lumineuse et nous voyons des satellites, la voie lactée, des étoiles filantes… un grand moment que cette nuit.
Les bédouins nous ont installé des tapis, des matelas et nous avons chacun deux couvertures. Le lever de soleil vaut la peine aussi un peu tôt 5H30. Le retour a l’hôtel se fait en silence chacun savourant les instants vécus. En traversant le village de Mahmid nous constatons le travail des femmes et des enfants : comme dans tous les pays où l’eau manque, ils remplissent des bidons !
Ce voyage bien que court fut dépaysant et vraiment super merci Catherine et Alex. et je suis désolée car je n'arrive pas à insérer des photos
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